Le bonheur serait fortement lié à la capacité à se mêler de son propre cul.

La nouvelle étude réalisée par l'équipe psychiatrique du CHU de Nantes a donné des résultats qui vont en surprendre plus d'un. Quatre années de recherches sur plusieurs centaines de patients ont amené les médecins à tirer plusieurs conclusions sur le bonheur. Mireille Feuquitaule, docteur en psychiatrie depuis plus de 20 ans, a adressé le rapport de l'étude menée par son département dans la matinée et a tenu un discours efficace :

 

"La première conclusion de notre étude sur le bonheur est que le bonheur serait avant tout une absence de malheur, plus précisément, je cite, une absence d'emmerdements. Il ne faut donc pas tant aspirer à la félicité qu'à la paix. Être tranquille, c'est être heureux."

 

Chacun ses fesses

 

La seconde conclusion est un peu moins orthodoxe :

 

"Dans 85% des cas étudiés, le sujet n'était pas heureux parce qu'il avait une tendance à se mêler de fesses qui n'étaient pas les siennes.

Ce n'est pas banal, c'est même sans doute la première cause de conflits dans le monde. Regardez les guerres, tout commence lorsqu'une personne veut des ressources qui ne sont pas les siennes ou imposer une idée qu'il n'a pas à imposer. Tout crime commence avec une personne qui veut changer la vie d'une autre, un voleur n'est pas capable de ne pas fourrer son nez dans un magasin alors qu'il ne veut pas acheter mais en a les moyens-attention je ne parle pas de ceux qui sont réellement désespérés-un violeur se mêle bien entendu de fesses qui ne sont pas les siennes, et ce n'est que le début d'une longue liste.

Si personne n'est vraiment lésé par l'activité de quelqu'un, ou tant qu'une personne ne fait pas de mal à une autre, c'est pas vos affaires. Ne faites chier personne, c'est le conseil d'un patient."

 

La tranquilité passe par le je-m'en-foutisme

 

Plusieurs patients ont également révélé, selon l'équipe du Dr Feuquitaule, une absence manifeste d'intérêt pour les petits tracas. Le patient 452 par exemple, "n'en avait rien à foutre de quoi que ce soit. Ce sont ses dires. Le véganisme ? Il s'en foutait. Le bio ? S'en fout. La couleur des

chaussures ? Rien à fiche. Le metal ? Plop. Justin Bieber, la TV ? S'en fout, il croit ce qu'il veut et laisse les idiots dans leur coin."

 

Il est cependant précisé que ces mêmes patients admettent être prêts à défendre une noble cause :

 

"76% des patients de ce type admettent que même s'ils se fichent des faux débats, ils sont prêts à lutter contre la faim dans le monde, les guerres et pour l'éducation, parce que ce sont de vrais conflits, de vrais problèmes."

 

L'équipe espère que ses recherches aideront beaucoup de citoyens du monde.

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Commentaires: 1
  • #1

    Pat de liege (vendredi, 04 mars 2016 18:52)

    J'adoooooore !