Lille - Les ravages de Pokémon Go continuent. Après les accidents et les accès de folie, ce sont des scènes de ménage auxquelles on assiste. Le dernier drame conjugal en date s'est déroulé hier soir à Lille, chez Larmina Khlitori, 25 ans. Elle ne cache pas sa haine du jeu.
"Ça faisait quelques jours que je voyais mon copain bander sans raison. Et puis il avait des orgasmes sans bouger. J'ai compris en passant derrière lui hier aprem. Il jouait à ce truc de merde, Pokémon Go, il se faisait sucer par un Excelangue. Hier soir, j'ai installé l'appli sur mon portable et je l'ai repris en flagrant délit. Il me trompe avec un Pokémon."
Son petit ami, Benoit, a honte mais estime que l'expérience en vaut la peine :
"C'est un peu comme stocker des putes et des animaux que personne d'autre ne peut voir sans l'appli. Ils existent vraiment, j'en suis certain. L'appli permet simplement de les voir."
Aujourd'hui même, des cas similaires ont été vus dans toute la France, et la SPA envisage de considérer les Pokémons comme des "animaux virtuels très proches du réel". Faut-il leur accorder des droits ? La SPA suggère que oui, "parce qu'aucun Abra ne devrait se faire enculer dans son sommeil."
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