Sept jours de cessez-le-feu et d'accès ininterrompu, c'est ce qu'Obama demandait après l'accord de Genève, une trêve qu'aucun des deux camps (Damas et les rebelles) ne semble respecter.
Depuis le début de la trêve, chacun accuse l'autre d'être responsable des 200 violations du cessez-le-feu, et l'armée Russe ne mâche pas ses mots, blâmant les USA pour l'ensemble des "incidents" qui se sont déroulés. La trêve ressemble à une blague, une version confirmée par Obama et Poutine lors de leur dernier dialogue sur la situation en Syrie qu'ils auraient conclu par un "ptdr".
Poutine a ajouté ce matin dans un communiqué retransmis sur les TVs russes que "tout ça est quand même bien marrant. On fait semblant de les aider, en vrai on s'en fout un peu des deux camps mais c'est plus amusant de faire durer jusqu'à ce qu'il n'y ait plus qu'un gros trou à la place du pays."
Une situation qui inquiète fortement l'ONU, qui accuse Poutine de jeter de l'huile sur le feu alors que le dirigeant russe a bombardé plusieurs villes "pour faire comme un gros feu d'artifice et célébrer la trêve."
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