C’est un petit coup de tonnerre dans le monde de la politique. Plusieurs rumeurs relayées dans la presse people voudraient en effet qu’Emmanuel Macron ait été vu à Cayenne en compagnie de Christiane Taubira en marge d’un meeting à Kourou au cours duquel le candidat En Marche! aurait affirmé « Je ne suis pas de ceux qui font des Antilles le croque-mitaine des gens qui prennent des coups de soleil en hiver ; en effet, c’est une région qui nous a donné Francky Vincent et les intérêts de la dette haïtienne. »
Face à la spéculation grandissante, le jeune Français de l’Outre-Mer a décidé de prendre les devants lors d’un entretien accordé à Voici, Le Monde, Les Echos, La Croix, et France Ô, dans lequel il révèle que son enfance à Amiens n’était qu’une façade, montée de toutes pièces avec la complicité du mouvement de grève guyanais, afin de protéger les skinheads de sa véritable enfance, celle d’un jeune surfeur prodige de Pointe-à-Pitre. Christiane Taubira salue « un ami, un frère – je parle de millions d'hommes arrachés à leurs dieux, à leur terre, à leurs habitudes, à leur vie, à la danse, à la sagesse. Je parle de millions d'hommes à qui on a inculqué savamment la peur, le complexe d'infériorité, le tremblement, l'agenouillement, le désespoir, le larbinisme. »
Contacté pour commentaire, Henry de Lesquen déclare : « Nous n’avons rien envers les personnes de race congoïde – les Antillais sont un peuple ami de la France – mais le projet politique d’Emmanuel Macron illustre la banqueroute morale de nos élites cosmopolites et lyssenkistes qui prétendent nous imposer la valeur du métissage et sonne le glas du peuple caucasoïde. La musique nègre, c'est l'expression de l'âme des populations de race congoïde. »
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