Suite à la publication d'un article utilisant l'écriture inclusive par Libération, le réacteur de la centrale nucléaire de Civaux a explosé, détruisant tout sur un rayon de 500 mètres. Le nuage radioactif qui en résulte aurait déjà tué plus de 100.000 personnes entre Poitiers et Limoges, ce qu'Emmanuel Macron a qualifié de "dommage."
A l'origine de cette explosion, l'inclusion du féminin dans la langue française. Les expert.e.s présent.e.s ont d'abord pensé que le point très moche utilisé pour séparer le masculin du féminin était responsable, mais il s'avère que c'est bel et bien l'idée de donner une place aux femmes qui a causé le tragique accident-même si le point aurait aussi joué un rôle de catalyseur.
Camille Larchivere, 32 ans, qui fait partie d'une des équipes de secours, estime que "cette catastrophe aurait pu être évitée. Cette écriture inclusive a des problèmes mais je pense surtout qu'elle n'inclut pas vraiment les femmes. Mettre l'accord féminin entre deux points ça donne l'impression que nous, les femmes, on s'introduit de force dans un mot qu'on brise, et je sentais que quelque chose aller nous tomber sur le coin de la figure. Pourquoi on n'utilise pas un slash ? Ou pourquoi ne pas tout simplement accorder systématiquement le pluriel au féminin quandle masculin n'en disparait pas pour autant ? "Allé" est présent dans "allée." Je pige le fait que le point force à déconstruire ce qui génère les inégalité mais quand même.
Et puis les hommes vous les connaissez, ils ont peur pour un rien, vouloir avoir leurs droits ça leur semble être une folie alors avoir leur visibilité, imaginez. En plus de tout ça on leur montre des points. Le traumatisme. Leur frustration n'a pas pu être contenue et le réacteur a explosé.
Tout ça aurait pu être évité si dans ce pays de con.ne.s on éduquait les mômes et leur faisait piger que tout le monde a le droit d'exister. "
Les autorités ont toutefois tenu à préciser que le nuage se dirige à présent vers le sud et devrait donc tuer Robert Ménard.
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