Pas de chance pour Aurélie qui vient d'accoucher d'une "petite saloperie" nommée Alois. La bretonne a dû abandonner ses projets de vacances à la plage dans le sud au moment où elle a senti "comme un truc prêt à me tamponner la chatte mais de l'intérieur. Là j'ai su tout de suite que ce connard allait me la faire un mois en avance."
Aurélie tente de rester optimiste, mais très vite son pragmatisme reprend le dessus : "je vais me faire niquer une partie de mon congé maternité parce qu'évidemment fallait qu'y naisse pendant la première de mes 3 semaines de congés hein. Voilà. Et y pleure en plus, ferme ta gueule Alois, maman s'est fait déchirer la chatte, c'est pas à toi de chialer."
Niquer en automne, une erreur monumentale
Aurélie n'est que l'une des victimes du sexe non-protégé en automne. Comme elle le dit elle-même, "sur le coup on y pense pas mais ça prend 2 secondes de piger que ken en octobre ou en novembre c'est idéal pour pourrir les prochaines vacances d'été. Tiens, ma voisine l'an dernier, elle en a pondu un pile le week end du quinze août. Quelle merde j'te jure. Et moi comme une conne j'ai ken en automne en me disant que j'allais être maman et que ce serait cool. Franchement les filles, faites pas comme moi. Faites ça en février ou un truc du genre."
Que faire de votre bébé que vous haïssez déjà ?
Bien entendu, Aurélie en veut déjà à l'innocent Alois, mais comme elle le sait "y va pas r'rentrer d'dans hein, nan ce s'rait trop facile de m'filer un ou deux mois de plus. Dès que possible c'est la mémé qui s'en occupe, et pour ses 18 ans y peut toujours courir pour avoir un cadeau. Le jour de ses 18 ans c'est moi qui m'casse."
Une belle histoire qui commence.
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