Les scandales à répétition auront eu raison de l'enthousiasme des actionnaires : aujourd'hui, à la cloture de Wall Street, ce sont pas moins de 150 milliards de dollars qui se sont envolés, soit une chute de près de 25% du prix des actions. Un coup dur pour le créateur du réseau social le plus influent de la planète, Mark Zuckerberg, qui n'a même pas le droit à une minute de répit puisque les actionnaires les plus influents souhaitent le voir quitter la tête de la compagnie.
L'ancien élève de Harvard pourrait bien voir sa fortune passer sous la barre des 70 milliards, une tragédie que tout américain qui se respecte peut comprendre. Cependant, il a déclaré rester optimiste :
"Je ne me laisse pas abattre. Je savais que ces scandales allaient nous causer des problèmes, mais ils nous appartient-il m'appartient de travailler à présent pour plus de transparence et de justice dans la manière dont nous organisons Facebook.
Nous avons détecté des erreurs et problèmes totalement indépendants de notre volonté qui forçaient des pages formidables comme Artillerie Lourde à payer si elles ne voulaient pas voir leur visibilité et nombre de lecteurs diminuer drastiquement. Nous avons aussi décidé que dorénavant, peut-être que les nazis et les pédophiles seront sanctionnés, à voir."
Lorsqu'un journaliste de CNN lui a demandé comment il gardait le moral, le CEO de la compagnie a sourit avant d'expliquer non sans une goutte de sueur sur la tempe que "l'un de nos programmes demande aux utilisateurs et utilisatrices d'envoyer des photos intimes à Facebook afin que les hacks de nudes soient rendus impossibles.
Je dois avouer que des fois ça fait bien plaisir. De plus, nous avons accès à toutes les nudes afin d'accélérer le processus-tenez, les mecs et nanas qui vous liront dans trente minutes, vous pouvez être certains que leurs photos vont m'aider à me faire dégorger le poireau. Ça remet les idées en place."
Les actions de Facebook devraient continuer à plonger demain dès l'ouverture de la bourse.
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