Mal de dos, stress, insomnies, nausées, migraines, surtout pas envie d’aller bosser… Tout ça n’a rien à voir avec votre hygiène de vie de merde ou vos choix de vie regrettables : vous êtes certainement au bord du burn-out, ou peut-être en souffrez-vous déjà depuis longtemps sans le savoir.
Mais voici une bonne nouvelles pour vous ! A partir de novembre 2018, une nouvelle thérapie contre le burn-out sera proposée à tous les travailleurs du service public français. Pour comprendre le fonctionnement de ce traitement, il faut noter que les cas d’épuisement professionnels sont constatés en grande majorité dans des environnements de travail dits "confortables" ou "de planqués" : secrétariat, administration, postes d’assistant divers… Mais jamais dans le cadre de métiers pénibles physiquement ou chez les personnes avec de réelles responsabilités. La raison ? Il semblerait que les personnes qui travaillent sous le statut de fonctionnaire depuis plus de deux ans n’utilisent qu’une seule main sur deux, l’autre étant la majeure partie du temps enfoncée bien loin dans leur rectum.
Cette maladie professionnelle affecte gravement les performances des salariés : ainsi privés de cinq de leurs dix doigts, il leur devient terriblement difficile d’accomplir des tâches aussi simples que répondre au téléphone tout en prenant des notes ou encore d’encoder un formulaire rapidement sur un programme dédié. Ce handicap méconnu mène ultimement à un retard sur la charge de travail à accomplir, à une frustration générale des bénéficiaires et donc à des situations de surmenage extrêmes pour les travailleurs, qui se sentent incompris et mésestimés.
La première solution face à ce "mal professionnel du siècle", nous disent les professionnels de la santé, serait que les travailleurs qui se sentent "perdre pieds" quittent leur poste à la recherche d’une position plus enrichissante professionnellement et personnellement. "Mais bien sûr, cela demande une ambition peu valorisée dans la culture française de la pleurnicherie" nous affirme le Dr. Klaus, qui poursuit « mais soyez rassurés : nous avons mis au point une cellule spéciale dans tous les centres médicaux de France spécialisées dans l’extraction des doigts du cul, qui devrait pouvoir aider les personnes souffrant de burn-out à se remettre en selle et à aller bosser comme tout le monde, de façon à ce que les caisse de la sécurité sociale puissent de nouveau payer les traitements des gens qui sont réellement malades ». La thérapie peut sembler brutale par définition, mais le docteur nous confirme que le personnel médical mettra tout en œuvre pour rendre le procédé indolore grâce à la technique du "squat, spread and cough" venue tout droit des Etats-Unis.
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