Héros du jour : des corses font sauter Paris et remplacent l'Île-de-France par un grand trou plein d'eau

 

On parle souvent de la Corse pour son indépendantisme, sa bouffe ou encore sa gestion peu conventionnelle des aides européennes, mais on oublie souvent qu'au fil des années, les corses ont infiltré la France métropolitaine, un oubli qui aura été fatal à l'ennemi numéro 1 des français : Paris.

 

Cette nuit vers deux heures du matin, des milliers de charges explosives ont été activées depuis une centaine de petits QG répartis dans toute la France saine (DOM-TOMs exclus). Si les témoignages de parisiens et parisiennes sont inexistants, la joie du reste de la France est palpable alors que les journaux diffusent les images du résultat : Paris a été rayée de la carte et nos amis corses n'ont pas fait les choses à moitié puisqu'ils ont remplacé l'ensemble de la région Île-de-France par un grand trou plein d'eau de plusieurs dizaines de mètres de profondeur.

 

Les corps et membres arrachés des victimes flottent encore à la surface dans un silence satisfaisant.

Guénolé, qui vit à Vannes, avoue qu'il a apprécié "de pouvoir regarder des images de cette région de merde sans avoir à supporter l'accent dégueulasse et les 'haaaan' à la fin des phrases."

 

Certaines villes, comme Marseille, ont adressé leurs condoléances aux familles des victimes résidant hors de Paris, mais d'autres, comme Lille, Lorient et le Puy-en-Velay, ont annoncé que les parisiens expatriés seaient "traqués et exécutés sans pitié."

Les enfants de parisiens et parisiennes n'ayant pas l'accent ou la tendance centriste seront toutefois épargnés. 

 

Quel avenir pour la Corse ?

 

Paris n'est plus, le nationalisme corse pourrait bien disparaître aussi : avec la mort de la capitale, c'est une nouvelle France qui se réveille, une France dont une bonne partie des politiciens a brulé dans les flammes de la justice, "une France avec laquelle on peut bosser sans causer de conneries, une France qui se base sur des faits et non sur des opinions sur des trucs qu'elle connait pas," explique le FLNC.

 

Des élections devraient être organisées d'ici mai afin de savoir si la France choisira une nouvelle capitale ou se rattachera à la Belgique.

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