"Les urgences économique, sociale, écologique, enfin politique avec le succès électoral de l'extrême droite [lors des élections européennes] déterminent la nécessité de "tenir le cap fixé (...) pour libérer les forces de notre pays et protéger ses citoyens", selon le chef du gouvernement qui a promis "un profond changement de méthode" dans l'acte 2 du quinquennat."
Le problème ? Philippe n'a pas su prononcer cette phrase sans exploser de rire.
Le premier ministre a buté sur le mot "sociale" à cinq reprises avant d'être pris d'un fou rire pendant plusieurs dizaines de secondes. Il a ensuite du sortir de l'Assemblée Nationale après avoir commencé à pleurer et grouiner en rigolant, le mot "écologique" n'est pas mieux passé.
Les députés PS et Verts ont mal pris ces quelques couacs et le "sociaaaAHAHAHAPUTAIN" mais estiment que les annonces du gouvernement, bien que loin d'être suffisantes, constituent un premier pas sérieux si tout est réellement mis en oeuvre pour la transition écologique et éviter de taxer les gros pollueurs.
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